Collection Escortboy. Comment J’Ai Débuté ? Saison Iii. (8/9)

Ce soir, c’est Bruno celui qui devrait être un simple livreur qui est dans le lit de Reine, la secrétaire d’Éléonore, la créatrice du parfum « Nuit chaude. ».
De livreur à pute de luxe, j’ai franchi le pas quand Claude, la femme qui m’a proposé le job après que je l’ai tringlé comme je sais si bien le faire, m’ai embauché.
Ce soir, alors que nous sommes sortis du Jacuzzi, c’est Bruno qui reprend Reine en levrette.
Le fric, j’aime en ramasser même si c’est avec ma bite après l’avoir plongé dans de vieilles chattes.
Je dis vieille, car à part Lauriane, la fille de Claude ayant voulu se payer mes services pour la déflorer, elles ont rarement en dessous de quarante ans.
La plupart sont en manque de sexe après le décès de leurs maris, d’autres des femmes d’affaires baisant en payant pour satisfaire rapidement les envies que ressentent toutes femelles.

• Alors Paulette, tu disais !

Pause, ça fait une demi-heure que nous faisons, l’amour.
Combien d’orgasme, lui ai-je apporté, je m’en fiche, elle a joui et encore joui.
Elle a joui et je viens de remplir ce sexe tant convoité par les baiseurs de haut vol, celui d’une rousse.

• Il y a deux ans quand Éléonore a reçu l’autorisation de grands investisseurs de développer son parfum, je suis entrée en fonctions.
Nous avons rapidement sympathisé.
• Tu étais déjà une gouine !
• Au lycée, avec Corinne, dans sa chambre, juste ses lèvres sur mes lèvres et sa main sur ma poitrine, mais sa mère est rentrée de course et les choses se sont arrêtées là.
• Mais avec ta copine.
• Peu de temps après, nous fêtions les premières phases industrielles et nous avons abusé du champagne dans un resto près d’ici.
• Nous sommes chez elle !
• Chez nous, j’ai fini dans son lit et depuis je monte et je descends du bureau à l’alcôve.
• J’ai compris, inutile d’en dire plus, ce que vous faites dans ce lit, te regarde, le principal en attendant c’est nous.



Encore un petit coup avec encore une envolée fantastique pour elle.
Je suis vraiment une bête de sexe.
Mon téléphone sonne.
Celui-ci me replongeant dans le monde des escortes.
Reine dort, sa main est près de sa bouche, un moment j’ai cru qu’elle suçait son pouce.
Je vais près du Jacuzzi, il se met à bouillonner.
J’entre et avec délice, je me prélasse tout en décrochant.
Même voix suave, même regret que cette femme soit inaccessible pour moi, pourquoi foutre le bordel dans la vie de cette dame ayant trois s.

• Oui, je peux savoir votre nom.

C’est plus fort que moi, depuis que j’entends la voix de cette femme, j’ai envie d’elle.
En ce moment seulement par la pensée car la rouquine dans la pièce voisine m’a littéralement vidé les couilles.

• Hôtel Paris Neuilly chambre 169 à 12 heures.
La cliente se nomme Sylvana, soyez à l’heure, elle a peu de temps.
Vous y êtes déjà allé.
• 12 heures, oui, je connais.

J’ai envie de lui dire que j’aimerais avoir un rancard, mais on me parle au moment où elle raccroche.

• Le travail reprend !

Reine est dans l’encadrement de la porte, magnifique rousse, piquante à souhait comme j’ai pu le vérifier toute la nuit.

• Je t’attends dans la cuisine, café.
• Oui.

Croissant et café, croissant certainement congelés, Reine nue sous son peignoir, est restée dans l’appartement.

• Dommage que tu voies quelqu’un, rentre demain soir et j’aurais bien encore passé une bonne soirée ce soir.
Je t’aurais bien préparé un petit repas en amoureux.
• À quelles heures ?
• Vingt et une heures, le temps de me faire belle.
Et ton rendez-vous ?
• De quoi parles-tu ?

Nous éclaterons de rire.
C’est beau une femme qui rit après s’être éclatée toute la nuit, du moins jusqu’à tôt ce matin.
Inutile de lui dire qu’avant de la retrouver, j’aurais été gagner quelques monnaies trébuchantes dans la chatte d’une autre femme.


Douze heures, hôtel à Neuilly, chambre 169, une partie du numéro prédisposée et la pute est prête pour honorer son contrat et empocher l’argent de son dur labeur.
69, ça m’aide à m’en sortir honorablement, car côté sexe, je bande un peu mou.
Avoir une relation avec une femme et tapiner dans la journée, à part devenir un simple gode, un homme normalement constitué peut rencontrer quelques problèmes.
Mais globalement je m’en sors bien.

Un peu moins de 15 heures, chez moi, dans mon lit, hélas, mon portable sonne me réveillant.
Celui de travail, je pensais l’avoir coupé.
Claude a d’autres escortes à sa disposition, moi je rejoins ma reine, pardon, Reine avec pour une fois un peu de retard.
Elle m’a dit me préparer un repas, je joue le grand jeu, smoking, mais le noir, le blanc elle le connaît déjà.

• J’ai cru que j’allais dîner seule, mais tu es là, as-tu récupéré ?

Robe du soir, j’avais vu juste, blanche pour elle.
Noir-blanc, blanche rousse, je lui prends la main et mes lèvres l’effleurent avant de la prendre dans mes bras pour un baiser profond.
Il est drôle de prendre une femme dans ses bras, surement la sauter comme hier et que dans mon for intérieur, je sais que la femme de ma vie est ailleurs.

• Passons à table, je t’ai préparé mon plat favori.

Elle part vers la cuisine, je l’attends pour l’installer sur sa chaise.

• Regarde, lasagne, décongelée de mon fournisseur de divers produits.
Je suis la cuisinière la plus nulle de la planète, mais j’ai aussi du champagne frappé à souhait.

Repas, sono et slow langoureux, à la limite de nous installer au fond du canapé devant la télé comme un vieux couple de Français.
Mais j’assume, quelle heure est-il quand après le bain bouillonnant à jouer et dans cette chambre où j’ai dû lamentablement m’endormir.
Ce sont des cris que j’entends.

• Salope, tu profites de mon absence pour t’envoyer en l’air dans notre lit et avec une pute qui plus est.


Il fait assez jour pour voir Éléonore rouge de colère.
Je vois Reine à mon côté comme tétanisée recroqueviller comme le ferait un ayant peur du courroux de son père.
Deux attitudes, me lever et prendre mes fringues pour aller me rhabiller sur le palier, laissant les deux femmes s’expliquer.
Mais si je sais faire bouger mes pectoraux, c’est grâce au sport et à ma musculation.
Nu comme à ma naissance, avec une bite s’étant plutôt bien développé, je saute du lit et j’empoigne la furie.

• Doux, doux, calme toi, tu crois que la vie de ton amie est à toi !
Laisse là vivre comme elle le souhaite, elle te donne déjà cent pour cent de son temps.

Elle rut et je sens ses seins dans mes bras à l’endroit où je la tiens.
Je serre, mais juste pour la calmer, je sens que j’ai une pile dans mes bras.
Lorsque j’étais petit, j’étais moi-même colérique.
Maman arrivait à me calmer en me portant sous son bras dans la salle de bains.
Elle prenait un gant de toilette, le mouillait et me l’appliquait sur ma bouche, jusqu’à ce que je suffoque avant que j’arrive à me calmer.
Je décide d’en faire de même avec Éléonore.

• Qu’est-ce que tu fait connard, je vais t’arracher les yeux, lâche-moi !

Bien sûr, j’ignore sa demande, je la tiens bien pourquoi la lâcher.
Un problème, j’ignore où sont les gants, je vois le Jacuzzi qui une nouvelle fois démarre seul.
Un détecteur de présence doit démarrer le système automatiquement.
Je l’enjambe et malgré qu’elle soit habillée, je la plonge dans l’eau bouillonnante.
Je tiens surtout sa tête sous l’eau comme le ferait un prédicateur baptisant ses nouvelles ouailles dans une rivière.
Quelques secondes, je ressors sa tête, de nombreuses chattes m’attendant encore et je veux éviter de me retrouver en prison à sucer des bites.
Plusieurs fois je renouvelle l’opération jusqu’à ce qu’elle ait avalé quelques centilitres d’eau et que je sens son corps se décontracter.


• Pourquoi avez-vous fait ça.

Elle crache de l’eau et suffoque, j’ai atteint mon but.

• Qu’ai-je fait, qu’a-t-elle fait, je crois savoir à ce qu’elle m’a dit que Reine est bisexuelle et qu’avant toi, elle aimait les bites !

Une nouvelle quinte de toux et comme moi lorsque j’étais petit, elle cache sa tête dans mon épaule et se met à pleurer.
Je suis assis, nu, elle est allongée dans mes bras, entièrement habillés.
La situation est insolite, Reine est sur le pas de la porte, nue elle aussi.

• Reine vient nous rejoindre...

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